Nos villes s'étendent inexorablement, reléguant toujours plus loin les terres agricoles. Les agglomérations se rapprochent jusqu'à se toucher parfois. Et là où la terre arable est la meilleure, aux creux des vallées on fait passer des autoroutes.
Une telle artificialisation des sols inquiète de nombreux scientifiques ou associations comme celle de
Jean Christophe Robert président de filière paysanne à Marseille qui