On se croirait dans un film-culte : dans le décor Louis XVI de son salon parisien de 20 mètres carrés, Laurent Lagadec réhabilite le métier de barbier : un art transmis par les rencontres qu'il a su provoquer, en poussant des portes, à Paris et à Istanbul. Et une discipline qui recouvrera sa place dès l'an prochain, dans le CAP de coiffure. De fait, artisan-barbier revient au goût du jour : prendre le temps d'avoir la peau douce, voilà bien qui avait inspiré à juste titre, François Truffaut...
Un sujet proposé par Pascale Marcaggi
Mise en ligne : 02/03/2012