Soutenu à la fois par la Ville de Paris et la Région Ile-de-France, mais aussi par de grandes entreprises - le groupe La Poste, Conforama, la Société Générale, Lafarge, le Crédit Agricole, BNP Paribas, Logica... - le Salon "Osez nos compétences" avait été inauguré l'an dernier à la même époque, par la volonté sans faille d'élus délégués au handicap. Avec cette deuxième édition, les 28 et 29 novembre derniers, au 104, rue d'Aubervilliers, à Paris, il s'est inscrit comme un rendez-vous nécessaire, qui se déclinera au long de l'année à venir, également en région, à commencer au mois d'avril, par Evreux en Normandie : "Le travail protégé" ou "adapté" est aujourd'hui un fournisseur auquel ses clients recourent parce qu'ils y trouvent la réponse à leurs besoins. Qu'en plus, cela réponde à une prise de conscience de la responsabilité sociétale de l'entreprise, à une volonté non seulement d'obtenir un résultat économique mais aussi de soutenir le développement des communautés, des territoires dans lesquels ces entreprises s'inscrivent, la citoyenne et la ministre applaudissent", soulignait Marie-Arlette Carlotti, ministre déléguée en charge des Personnes handicapées et de la Lutte contre l'exclusion.
Le handicap n'est du reste pas toujours ce que l'on croit. Bruno Diot est handicapé du dos, une "maladie du métier" de chauffeur-livreur. Il répond au question de Pascale Marcaggi.
Posté le 07/12/2012