Si le verbe "prédater" n'est pas répertorié par la langue française, il se conjugue de préférence par mauvais temps. Mais tel l'arroseur arrosé, le prédateur pourrait bien être le vrai maillon faible. Le tout est de décrypter... et de voir clair en soi.
Alain Zecchini nous éclaire au micro de Pascale Marcaggi.
Posté le 27/06/2013