Serait-ce que la nature est dans les starting-block ? Le printemps pour bientôt, à la condition de ne plus dire « au pied de mon arbre, je fumais heureux ».
Par chance, acte ô combien incivique, les cendriers géants se transforment parfois sauvagement en plate-bandes proprettes. Qui a fait ça ? Aux dires des commerçants, une équipée de jeunes filles. Bravo à elles.
Et dans le cadre de la tolérance, merci à celles et ceux qui vouent les fumeurs aux gémonies, mais font lever la patte à leur caniche dans les mêmes cendriers géants, d'y songer aussi : pour les arbres, c'est pire.
Un reportage en vadrouille de Pascale Marcaggi
Posté le 23 février 2015