Si les villes bio d'Europe formaient un réseau, pour contrebalancer le lobby de l'agriculture conventionnelle ?Voilà qui pourrait avoir plus de poids auprès de Bruxelles.
C'est-ce à quoi ont sérieusement commencé à réfléchir, lors de Rencontres nationales de l'agriculture biologique, Mickaël Latz, le maire de Correns dans le Var, « premier village bio de France », et Claudio Serfini, président de Citta del Bio, le réseau italien des villes bio